Au libre, utilisateurs des ordinateurs de poche

Ça y est ! J’ai  craqué.
Avec mon nouveau boulot qui me prend plus de temps que je ne le voudrais, j’ai réussi à économiser suffisamment pour me faire un beau cadeau : le long boad des smart phones, le Samsung galaxy note 2.

Mais, vous commencez à me connaître, il me faut bien toujours râler contre quelque chose même si j’ai en main le plus beau joujou qui se vend en ce moment.

Me voici donc en ce moment même en train de taper cette note avec mon stylet, grâce à l’application WordPress sous Android.

Mais qu’il existe une application WordPress et qu’elle soit libre n’est pas étonnant en soi. Ce qui me semble bien plus important, c’est le fait qu’on puisse trouver facilement d’autres de ces applications libres.

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Un pack pour laver l’Internet plus blanc que blanc.

Vous trouvez que le net n’a plus sa blancheur d’antan ? Vous cherchez comment lui redonner tout son éclat et la souplesse de sa nature acentrée ? Vous trouvez que les logiciels libres sont trop peu connus, que vos échanges culturels non marchands sont menacés ou qu’encore trop d’argent public est dépensé en licences de logiciels ?

Pour tout ça, il vous est proposé aujourd’hui un tout nouveau Pack Liberté

Pack Liberté réalisé par Antoine Bardelli LAL CC-BY-SA GNU/FDL

qui lave les ordinateurs et le net plus blanc que blanc. Grâce à lui, vous luterez efficacement contre les tâches incrustées de censure et de centralisation. Vos communautés redeviendront plus souples et même vos applis mobiles sentiront la Liberté retrouvée.

Voici en quelques lignes la teneur de la campagne commune de soutien trois des plus importantes associations qui vous informent sur le logiciel libre et plus encore sur la citoyenneté 2.0. Donc l’April, La Quadrature Du Net et Framasoft se sont alliés pour vous faire un site de dons un peu inhabituel.

Non seulement vous aurez le droit à une bonne cure de LOLage dans le plus pur style Internet (ce qui ne fait jamais de mal en ces temps de crise), mais vous aurez le choix faire vos dons en tout en un.

Au delà de l’apparence légère, votre don est aujourd’hui encore plus d’avant une nécessité pour promouvoir le logiciel libre et sa culture, mais aussi pour défendre nos droits à la culture et à l’information. Il vous sera possible de moduler les proportions que vous souhaitez mettre dans telle ou telle association grâce à des curseurs.

C’est donc à nous d’aider ces associations à nous informer et nous proposer des alternatives aux logiciels privateurs, aux traités anti-contrefaçon potentiellement meurtriers. Les intermédiaires entre les producteurs et les consommateurs se rebiffent car ils ne sont plus utiles. Empêchons-les de nous cacher le soleil.

J’ai pas vu la tour Eiffel mais c’était pas le but ou le stand Framasoft à l’Ubuntu Party de Paris

Je n’ai pas vu franchement le jour ou même l’Ubuntu party durant ces deux jours où j’y étais mais ce n’était pas franchement le but, comme je l’ai indiqué en titre.

Non, le but premier pour moi a été de rencontrer l’équipe Framasoft en représentation sur place.
J’avais déjà manqué l’occasion d’aller à Bordeaux pour les RMLL mais ce coup-ci, avec Paris qui est la ville la plus accessible de France par air, par route et par train (la mer n’y est pas encore, bien que la plage y soit parfois) et aucun autre rendez-vous sur le créneau, je ne pouvais pas décemment rater à nouveau une assemblée de personnes qui font tant pour le logiciel libre.

J’avais quand même l’idée au départ de venir rencontrer aussi cheval_boiteux afin que nous puissions travailler un peu sur le Framawiki et sur les tutoriels qu’il se destine à contenir entre autre.
Tout était prévu au millimètre, sauf un détail : le stand Framasoft.

Si vous avez à un moment l’intention de faire quelque chose de précis pendant une Ubuntu party ou tout autre événement à fort drainage de public, oubliez tout de suite.
Rien que le fait de se mettre derrière le stand fait de vous un porte-parole et un référent du mouvement Framasoft. Il y a tellement de sujets intéressant à aborder avec tant de personnes intéressantes tout en restant dans le cadre de la représentation de Framasoft que la première chose que vous ne verrez plus, c’est le passage du temps.

Tout d’abord, vous allez arriver sur le stand et voir tous ceux qui se connaissent déjà se saluer et se retrouver. Comme Framasoft ne fait pas de réunions très souvent vu que ses intervenants sont éparpillés au quatre coins de l’Europe – voir du monde – l’ambiance de retrouvailles est vraiment chaleureuse.
Puis, arrive le moment de vous présenter et là, à la mention de votre pseudo, vous faites déjà parti de la famille.
C’est, je pense, la même chose avec la grande majorité des relations épistolaires depuis le début. À la limite, c’est même plus le cas aujourd’hui puisque nous ne dépendons plus des chevaux pour relayer nos pensées, nos réflexions et nos sentiments. Mais c’est une toute autre histoire.

Les mains serrées et les présentations rapides faites, vous commencez à vous installer avec la ferme intention de faire avancer le schmilblick pour lequel vous êtes aussi là. Mais, à peine avez vous commencé à voir ce que vous avez à faire que les premières personnes qui demandent des informations sur Framasoft en général ou sur un projet en particulier sont déjà là. À vrai dire, elles sont arrivées avec vous qui n’avez pas eu la possibilité de passer par  » l’entrée des artistes « .
Bref, entre les personnes qui sont là pour acheter une Framakey, pour se renseigner sur ce qu’est l’univers Framasoft (et quand je parle d’univers, je pèse mes mots) ou qui vous parlent de ce qu’ils font dans le libre ou pour Framasoft avec passion, vous ne pouvez clairement pas poser votre nez sur votre PC que vous venez de mettre en route.
Pour être clair, à part un maitre zen, je ne vois pas qui pourrait rester concentré dans ces conditions.

Ces merveilleuses conditions, devrais-je dire.
Si j’ai remercié à la fin de la rencontre les personnes de l’équipe, c’est bien pour m’avoir laisser parler aussi facilement de Framasoft à ce stand et de ce fait de m’avoir permis non seulement de les rencontrer et de travailler avec eux, mais aussi de rencontrer des personnes généreuses des deux côté de la table.
Je me suis rendu assez vite compte que de suivre tous les projets (même uniquement les plus actifs) est déjà quasiment un travail en soi, et que je ne savait quasiment rien sur les activités de Framalang, Framabook ou de Framakey. À moi donc de m’y intéresser de plus près et peut être d’y participer quand le Framawiki sera pleinement oppérationnel et visité.
En attendant, je mûris les rencontres faites avec le libérateur d’ordinosaures qui a fait une application qui vous retire un windows sans licence pour y installer un linux tout propre et tout fonctionnel pour Emmaüs ; Quentin et Julien, programmeurs de logiciel libre, prévoyants, gourmands et Famasoftiens ; notre voisin de stand dont j’ai oublié le prénom, démonstrateur sur clavier bépo et avec qui le courant est très vite et très bien passé ; les anciens et les permanents de Framasoft qui savent vous encourager à continuer ce que vous semblez faire de bien (merci pour les compliments sur ce blog, Don Rico. 😉 ) ; les animateurs du stand WikiMedia avec qui j’ai échangé brièvement quelques informations ; les fourmillants et bénévoles organisateurs parés de leur magnifique T-Shirt Ubuntu et de leur inégalable sens de l’écoute ; les défenseurs de nos droits et de la neutralité du net que sont les personnes de La Quadrature Du Net qui ont encore aujourd’hui plus de pain sur la planche que dans les réserves et dont je vous ai déjà parlé ô combien il est nécessaire de les soutenir pour notre intéret à tous ; les agitateurs de l’APRIL qui sont perpétuellement sur la brèche de la promotion du libre; Isabelle, énergique professeure du C2I à l’Université Paris Sud avec qui on ne peut que partager la volonté de faire découvrir Internet, sa philosophie et ses applications basiques (qui sont déjà tellement plus intéressantes que MSN ou Facebook) et que j’encourage à publier un framabook comme elle m’en a parlé ; les voisins d’ILArd venus rencontrer notre PYG international et surtout faire une émission à propos de l’Ubuntu Party qui ne saurait tarder à voir le jour sur leur webtv ; et enfin, Mathieu d’In Libro Veritas qui m’a connu sous le pseudo de Cravate dans une vie antérieure.

J’ai raté pas mal de monde, j’ai rencontré encore plus de monde que ce que j’ai énuméré, mais j’ai des idées à partager plein la tête.

En conclusion, si j’ai une chose à vous dire à propos de ces événements, c’est qu’il ne faut pas hésiter à venir ou même à participer. Ce qu’on donne, on le reçoit multiplié par le nombre de personnes présentes.

1000 10 1 et Framasoft se libérera de sa pub Google

 

Avec vous aussi

Free flag Auteur inconnu Licence Art Libre Modifié par Harrypopof

 

Je vous ai précédemment expliqué ce qu’était Framasoft en détail dans cette note de blog. Je vous ai d’ailleurs dis à quel point j’y étais attaché dans les présentations des applications et des web apps portables.

Alors, figurez vous que l’association qui finance tous les efforts fournis par cette formidable équipe ainsi que les salaires de ses deux permanents (et vu la somme de travail fourni, les qualifier de Framaslave tous les deux n’est pas usurper leur investissement) voit à nouveau son avenir se rétrécir comme peau de chagrin. Mais pour garder espoir et conquérir un peu de congruence, Framasoft lance cette année une nouvelle campagne de dons sous une nouvelle forme.

1000 10 1 est donc le nom de cette nouvelle campagne qui à la suite de la sortie de Maveric Merkat le 10/10/10 nous rappelle au binaire originel de nos aides et loisirs informatiques.

Mais pourquoi 1000 10 1 ?
C’est simplement l’expression du but de la campagne. Trouver 1000 personnes qui donneraient 10 € par mois pendant 1 an.
En effet, avec ce but il sera possible à Framasoft de financer non seulement le salaire de son deuxième permanent (Simon Descarpentries), mais aussi de pérenniser et améliorer les services qu’elle grâce auxquels elle a été déclarée d’intérêt général et à ce titre vous permet de réduire vos impôts.

De par cette réduction, en participant à cette opération, vous donnerez en fait 40€ à Framasoft et vous serez certain que la réduction de vos impôts passe directement dans cette mission de faire connaitre et de promouvoir les logiciels libres qui nous tiens à cœur (au moins en ce qui me concerne).

Entrepreneurs et membres de l’éducation nationale, cette prochaine année les projets vous concernent particulièrement. En effet, après la sortie du FramaDVD École en cette fin d’année 2010, les projets collège, lycée et université sont ouverts. Une version entreprise (TPE/PME) est en gestation à la suite de l’exemple donné par la chambre des métiers de la Somme. Mais les Framakeys ne sont pas en reste et devraient suivre l’exemple des FramaDVD.

Bref, tous les projets sont décrits dans le billet que je vous ai lié au début de ce post.
Mais l’annonce de fin reste à la fois la meilleure et la plus inattendue pour moi. Framasoft retirera sa bannière de pub google si le but 1000 10 1 est rempli. Voila finalement la congruence des années futures dont je parlais en introduction. Rien que pour ça, soutenir Framasoft de la façon qui vous sied le plus ainsi que tous les projets qui y sont rattachés ça vaut vraiment le coup (et le coût).

Applications web portables

Après vous avoir présenté la Framakey, je me devais d’approfondir le sujet à peine abordé sur les applications web portables.

Basés sur Zazou Mini Web Server, Framasoft a profité de la possibilité de mettre sur une clef USB ces programmes qui font le web dynamique d’aujourd’hui.
Concentrés sur le logiciel libre, Framasoft et la Framakey vos proposent des applications libres. On y retrouve les grands classiques du blog et du forum comme WordPress ou phpbb, mais aussi d’autres CMS, outils de gestion et jusqu’à des outils à destination de l’enseignement.

Alors, à quoi peut bien servir une application web nomade ?
Si on fait fi de la possibilité de faire un site directement accessible depuis la clef USB, cela fait un très bon moyen de faire des outils privés comme un journal intime ou un wiki privé comme outil de prise de notes, le tout étant directement disponible sur n’importe quel ordinateur sous windows. Déjà pratique pour toute personne qui n’aurait pas fait le saut vers le tout libre.
Mais surtout, les bases de données que vous remplissez de vos données personnelles restent dans la clef et n’en sortent pas. Et de surcroit, il existe des logiciels de protection de données qui vous permettent de mettre un cadenas supplémentaire si vous craignez la perte, l’intelligence industrielle ou le vol.

Au delà de cette utilisation, il est toujours agréable de pouvoir apprendre à utiliser et – puisque nous sommes dans le libre – modifier, étudier et distribuer les logiciels php mis à disposition ainsi que le pack ZMWS lui même. Donc, si vous voulez étudier ou créer un add-on ou un skin pour un logiciel web, c’est le laboratoire sécurisé de vos rêves.
Enfin, une fois que vous voulez présenter votre œuvre et/ou votre programme à vos amis ou à votre client pour démontrer toutes les possibilités et les services d’un site web pour une personne, une entreprise ou même une collectivité. Sur cette simple clef, vous pouvez démontrer sur un écran ou en public avec un video-projecteurpour faire une formation sur un type de site particulier.

Un blog privé, un wiki privé, divers tests de mise en page et de mise en place d’extensions MediaWiki, le tout grâce à une petite clef et beaucoup de philosophie du libre appliquée, voila ce qui fait mon attachement à ces applications qui sont dans ma poche.

Mais tout ceci ne se fait pas sans vous. Framakey met en ligne tout ce qui peut vous être nécessaire pour utiliser ou même portabiliser votre application web. Vous trouverez donc tout ce que vous voulez et s’il vous manque encore quelque chose, une demande sur Framagora sera vite entendue.

Donc, bienvenue à vous que cet article vient de convaincre d’essayer ces web applications sur la Framakey.

Applications portables ou la clef de vos champs

Aujourd’hui, le nomadisme est de plus en plus adopté dans les mœurs informatiques de nos concitoyens. Pour les plus malins, les plus fortunés ou les professionnels d’entre nous, il n’est pas rare de pouvoir ou d’avoir à utiliser plusieurs machines indépendantes les unes des autres. En ajoutant à tout cela tous les nouveaux formats de machines comme les netbooks ou les futurs iPads ouverts qui ne tarderont pas à inonder le marché, le besoin d’harmonisation se fait de plus en plus criant.
Pour cela, les programmes de synchronisation se développent de plus en plus. Mozilla , par exemple a sorti Firefox sync (ou anciennement Weave) pour nous permettre d’avoir, sur un serveur, nos préférences d’utilisateurs accessibles de n’importe quel ordinateur branché sur internet.
Une autre façon de faire est d’utiliser les outils en ligne. C’est ce qu’on appelle le cloud computing ou Software as a Service. Si les conditions d’utilisation vous conviennent, c’est toujours une solution possible. Le mieux reste quand même d’avoir chez soi son propre serveur sur lequel pourraient tourner ces outils, histoire de ne confier qu’à soi les documents qui nous sont précieux.
Mais face à ces possibilités, en vient une autre qui profite toujours plus de la baisse des prix du stockage des données numériques et de l’augmentation de la vitesse de transfert entre un périphérique et un ordinateur : La clef flash ou clef USB.

Aujourd’hui, donc,il existe plusieurs possibilités de remplir une clef de plusieurs giga Octets dont le prix reste abordable avec des logiciels qui, non seulement vous suivront partout, mais qui surtout vous garantiront une confidentialité de vos données personnelles et de vos fichiers en plus d’une personnalisation et d’une disponibilité permanente.
Liberkey.com, PortableApps.com, usbsoft.org entre autres, sont des sites où vous pourrez télécharger des applications qui vous suivent partout. Mais ma préférence va bien-sûr à la Framakey. « Pourquoi ?  » me direz-vous.  Il y a moins d’applications, c’est mois pratique à installer, la communauté est plus restreinte, et cætera.

Plusieurs raisons sont pour moi importantes.
Tout d’abord, le respect et la défense de la philosophie du libre quelle que soit la plateforme m’ont séduit. On passe de la diffusion de Firefox et de Thunderbird avec des pluggins de confidentialité renommés en Framafox et Framabird pour permettre la redistribution sous d’autres appellations diverses ( trousse numérique, Universié, … )
De plus, la Framakey a mis en place des applications web portables grâce à ZMWS (Zazoo Mini Web Server). J’ai été conquis et j’ai désormais mon propre blog privé WordPress et mon wiki privé sous MediaWiki qui me suivent en permanence. Il y aura plus de détails sur les web apps portables dans un autre article.
Ensuite, je suis attaché à Framasoft même. Cette association et cette communauté dont je vous ai déjà parlé et où je traine mes guêtres. Mais ce n’est pas tout. Framasoft s’est associé à Ubuntu-fr pour permettre d’avoir sur cette même clef jusqu’à sa propre Ubuntu livekey comme il existe un liveCD. Votre OS personalisé sur tous les ordinateurs.
Enfin, la Framakey est un projet suivi qui bénéficie d’une action et d’une amélioration permanentes. La prochaine version sera la V2 où les applications seront formatées comme chez PortableApps, ce qui permettra d’ajouter prochainement une meilleure personnalisation et une mise à jour en ligne de votre liste de logiciels.

Donc, comme pour mon beau-frère, je vous indique qu’il existe la Framakey que j’ai adoptée pour certaines raisons, et je vous laisse choisir quelle version vous préférerez. Pour info, mon beau frère a été séduit par PortableApps.

La liberté, c’est aussi la possibilité de choisir autre chose, mais en toute connaissance de cause.

A vous de faire votre choix d’usage informatique nomade. 😉

Retour à la case apprentissage / Back to learnig step

Ah ! Les joies du retour à l’apprentissage de l’utilisation de son PC !
Vous aurez deviné, je passe de plus en plus de temps à utiliser mon PC sur lequel j’ai installé la dernière version d’Ubuntu.

Bien que je sois complètement séduit par la philosophie de mise en mouvement commun vers plusieurs buts en même temps, par la formidable alternative aux solutions pré-mâchées et achetable, par la très grande et très salutaire absence de la police Comic sans MS et par tout un tas d’autres choses qui me font aller de plus en plus loin dans l’utilisation de mon outil informatique, je me heurte à cette grande barrière que tout internaute ou tout utilisateur d’ordinateur a passé plus ou moins consciemment et plus ou moins avec passion : l’apprentissage du fonctionnement de l’ordinateur.

Bien sûr, les bases et les réflexes essentiels sont communs, ne serait-ce que par le fait que le web et Internet dans son ensemble sont indépendants du choix du système d’exploitation de celui qui se branche dessus. Là dessus s’ajoute le fait qu’utiliser un logiciel en fenêtre reste (même si les boutons sont déplacés) le même principe de fonctionnement. Donc, même si on patauge un peu pour se défaire des habitudes, ou pour adapter le fonctionnement à ses propres habitudes (ce qui demande déjà une adaptabilité du système qui n’est pas une évidence pour ce qui constitue l’offre commerciale).

Les deux grands cas pour lesquels j’aurai pu avoir quelques difficultés et qui m’ont fait penser que j’apprenais à nouveau à me servir de mon ordinateur, ce sont l’utilisation des bureaux multiples et l’installation de logiciels externes à ceux pré-sélectionnés par Canonical.

Pour la première, les choses se sont plutôt bien passées. Les essais successifs et la découverte des raccourcis claviers qui font passer l’affichage ou une fenêtre d’un bureau à un autre m’ont permis de voir qu’il pouvait être très ludique de passer d’un bureau à un autre. Depuis, j’ai un bureau musique, un web, un instant messenger et un pour les autres travaux. Et de temps à autres, je crée un cinquième bureau pour me faire une petite partie de FreeOrion ou de OpenTTD. Une transition qui s’est vraiment bien passé.

La mise en place de logiciels est, par contre, une  chose un peu plus technique et donc moins ludique.
Sous Linux (comme disent les non-initiés), la frontière entre l’utilisateur et le bidouilleur est très poreuse et il peut arriver que le premier soit forcé de passer de l’autre côté un peu de force. La ligne de commande donne déjà cette impression de devoir connaitre le système sur le bout des doigts pour commencer à écrire son premier  $ sudo apt-get install qui vous permettra d’installer un logiciel qui se trouve dans les dépots apt pour Debian. Je ne sais pas d’ailleurs pourquoi Debian, mais toujours est-il que c’est encore cette distribution de GNU/Linux (comme disent les initiés) qui donne ses trois premières lettres aux paquets .deb qu’on peut trouver directement en téléchargement sur les sites des applications. Ces fichiers ont la particularité d’être tout aussi pratique que les vieux .exe qui sont téléchargeables pour windows. Une fois sur le bureau, un double clic plus tard et vous voila en train de voir votre programme s’installer tranquillement.

On peut être quasi certain que pour chaque besoin, il y aura un logiciel libre pour ça. Parfois le programme est déjà dans votre ordinateur (j’ai installé des éditeurs de pdf pour me rendre compte que l’outil dont j’avais besoin était gscan2pdf et qu’il était déjà installé), parfois il sera dans la logithèque Ubuntu, parfois il faudra télécharger le paquet deb et enfin, pour les situations les plus scabreuses, il faudra aller installer à la main tous les fichiers nécessaires. Mais malgré cette incertitude, il est toujours agréable non seulement d’apprendre mais surtout de converser et de créer du lien avec d’autres personnes qui se dévouent à vous aider dans votre Groupe d’Utilisateurs de Logiciels libres Local ou sur le web dans les fora dédiés à votre distribution Linux ou tout autre groupe de libriste. En ce qui me concerne, les Framasoftiens ont été très patients avec moi et rien que le fait que le livre « Simple comme Ubuntu » fasse parti de la collection Framabook me semble un bon gage de savoir faire. Maintenant il ne me reste plus qu’à nettoyer tout le chantier que j’ai pu faire en voulant installer en local mes applications web portables dont je vous parlerai plus tard.

En conclusion, passer d’un OS à un autre demande une certaine patience et une volonté de ne pas abandonner parce que rien n’est intuitif dans l’absolu. Pour que ça le soit, il faudrait que l’ordinateur ait conscience de ce que sont vos habitudes et vos préférences avant même qu’il ne soit déballé.
En ce qui me concerne, penser que tous les humains réagissent de la même façon ou les formater à avoir tous le même comportement relève de la dictature. Là, avec Ubuntu, je commence à sentir le vertige de la liberté de mes actes et c’est grisant.


What a nice thing to learn to use a computer again !
As you gessed, I am using more and more my PC with the latest version of Ubuntu on it.

Although I am completly seduced by the common movement philosophy  that leads to many goals in the same time, by the wonderful alternative to pre-digested and buyable solutions, by the great and nerve salvative lack of Comic sans MS font and by a lot of many other little things tha make me go further and further in the knoledge of the use of my computing tool, I am still hurting myself to this great barrier that any internaut or any computer user passed more or less consciently and with more or less passion : Learnig how to use a computer.

Of course, basics and essential refexes are the same. The web and globaly internet are independants of someone’s choice of the Operating System who is surfing or else. Moreover, unsing a software in a window (even if buttons are misplaced) is the same fonction. So, even if there is some disagreements due to the habit’s switches or to adapt the system (that is asking some verability of the system that is not the main asset of commercial offer).

The two big steps witch could gave me some difficulties and made me think that I was learnig again to use my computer, are multiple desktops and extra-packet deposit software install.

For the first, things went good. Successive tries and switching desktops keyboard shortcuts discovery  alows me to see that it is very ludic to witch from a desjtop to another. Since I have a music desktop, a web desktop, an instant messenger desktop and the last one for all other works. And from time to time I create a fifth one to play at FreeOrion or OpenTTD. A very well done transition.

Software installing is a more technical thing then it is far less entertainent.
With Linux (as newbies say), the frontier between user and hacker is very thin and it might happend that the first one will be forced a little bit to go to the other side. Command string is giving this feeling to have to know like the back of your hand the system to start writing your first $ sudi apt-get install that will turns you able of install a software that is in the Debian apt depository. I don’t know why Debian, but it’s one more time this distribution of GNU/Linux (like veterans say) that give its three first letters to .deb packets that can be found in direct dowload on software site. These files are as conveiniant as old downloadable .exe files for windows. Once on the desktop, a double-clic later and the software is installing quietly.

We can be sure that for each needs, there’s a free software for that. Sometime the software is still installed in your computer (I installed pdf editors to realize that the tool I needed was gscan2pdf that was already installed) , sometile it will be in Ubuntu’s software library, sometime you will need to download the .deb packet and finaly, for the most advanced situations , you will have to install manualy all the needed files. But despite the unknown, it is always pleasant to learn and most of all to talk and to create relations with other people who help you in your Local Free Software User Group or on the web in the dedicated to your distribution fora or any other group of free software user. For me, Framasoftians were very patients with me and the fact that the « Simple comme Ubuntu » book is a part of the Framabook collection seems to me to be a good clue about their knowledge. Now I just have to clean all the mess I could do when I tried to install localy my portable web applications witch I will talk you about later.

Finaly, switching OS is asking some patience and a will to not give up because noting is absolutly intuitive. To do so, the computer have to know what are your habits and your settings even before it is unpacked.
For me, thinking that all humans act the same way or formating them to do the same thing look like dictatorship manner. Here with Ubuntu, I am starting to feel the sensation of freedom in every act I do and it is heady.

Censure du libre à l’exposition « Contrefaçon » / Censorship of free software in french « counterfeit » exposition

Je ne suis pas très pour utiliser un blog pour faire dans l’actualité et le sensationnel. Je n’ai strictement rien à vendre ici.
Par contre, il est des nouvelles chaudes à propager pour ne pas être dans le flot continu de la consommation effrénée et irréfléchie qui nous est donnée comme seule vision de notre espoir de bonheur.

Il est logique que chacun prie pour sa chapelle et qu’une exposition sur la propriété intellectuelle soit en majorité consacrée aux dégâts possibles de la vente de contrefaçon de pièces automobiles ou de médicaments. Il est heureux que quelqu’un ait eu l’idée de proposer une échappatoire au manichéisme du  » bon produit vs mauvaise copie  » avec un texte sur les logiciels et la culture libres qui proposent une troisième voie dans l’utilisation et la promulgation de la copie.

Hélas, l’institut qui gère la propriété industrielle en France a mis les doigts dans le pot à miel et n’est pas près d’en sortir la patte. En appuyant sur le bouton eject, l’INPI a déclenché un piège citoyen contre les ours gardiens des profits faciles par les brevets.
Alors que laisser dans son coin, à côté des toilettes, la borne qui débiterait en fond sonore son texte dans l’ignorance du client digne du plus fade pianiste de bar aurait permis d’avoir au moins une caution d’impartialité même si elle n’était que de façade. Au lieu de cela, l’INPI a décidé de faire pression sur la Cité des Sciences pour retirer la borne au titre de la « nécessaire clarté » de l’exposition.

Et là : Le drame !

Non content d’être une tâche sur la clarté nécessaire d’une exposition qui en devient dès lors, juste un organe de propagande sur la nécessité des brevets et la nocivité des copies de tous poils, les militants du libres dans leur masse s’organisent pour planter leur tente sur le parvis de la cité des sciences pour distribuer des tracts et autres FramaDVD (DVD de découverte du logiciel et de la culture libres) avec l’aval même de Richard Stallman. Ceux-là seront bien plus visibles et instructifs sur la voie libre du milieu entre le copyright et l’escroquerie et montreront que la création d’Internet n’a de conséquence que dans le monde de l’informatique ou musical. Le modèle de l’open source se propage de jours en jours toujours plus. Aujourd’hui, il existe un projet de voiture open source chez Fiat Brésil (dont je reparlerai peut être dans un sujet sur la contagion du libre).

Bref, pour suivre correctement l’affaire, il n’y a rien de mieux que la suite de liens dans l’ordre chronologique :

– Le texte censuré et les explications de son auteure : http://www.transactiv-exe.org/spip.php?article141

– Les réactions de la blogosphère libre :
http://linuxfr.org//2010/04/21/26765.html
http://www.framablog.org/index.php/post/2010/04/21/inpi-censure-le-libre
http://www.pcinpact.com/actu/news/56483-inpi-cite-des-sciences-libre-censure.htm
http://www.toolinux.com/lininfo/toolinux-information/breves/article/progilibre-le-lobby-anti
http://www.pullco.fr/2010/04/l-expo-qui-parle-du-faux-vraie-censure-du-libre-a-la-cite-des-sciences/
http://ubuntu-party.org/le-libre-phenomene-en-expansion

– Les réactions de la presse
http://www.rue89.com/2010/04/21/le-logiciel-libre-indesirable-dans-lexposition-contrefacon-148412
http://pro.01net.com/editorial/515551/l-inpi-s-erige-en-censeur-du-libre-a-la-villette-%28maj%29/

– L’organisation de la riposte :
— Post sur Framagora : http://forum.framasoft.org/viewtopic.php?f=12&t=33931
— Rédaction du tract : http://quadpad.lqdn.fr:9000/56KmDqu00q
— Bonjour Censure : http://www.bonjourcensure.fr/
— le PiratePad du sujet : http://piratepad.net/rV5IX2RIct
— le Doodle pour organiser les horraires : http://www.doodle.com/imntdqd6vspn6n4u
— le hashtag dédié : http://identi.ca/search/notice?q=%23censureINPI
— La lettre de l’APRIL à Claudie Haigneré : http://www.april.org/fr/censure-anti-libre-a-la-cite-des-sciences-et-de-lindustrie

Et là dessus l’INPI argumente sur le fait qu’elle utilise des logiciels libres pour toute validations de sa bonne foi.
http://www.pcinpact.com/actu/news/56517-inpi-cite-des-sciences-censure-libre-reponse.htm

Hélas, le libre ne se défend pas que par des utilisations. A l’instar de la Cité des sciences, l’INPI devrait vite et sérieusement se pencher sur la question du  » Comment aider le logiciel libre ?  » . Il est certain que quelques soient les excuses ou les explications, rien ne sera démordu tant que la borne ne sera pas remise en place au minimum.

Apprendre que « Copier n’est pas voler » sera déjà une bonne chose.


I usualy not agreeing using a blog to claim news and sensationaism. I strictly have noting to sell here.
On the other side, there are some hot news to spread not to be caught in the stream of full and unthought consumerism that is given to us as only hope of happyness.

It’s logical that everyone try to go his own way and that a exhibition about intelectual propriety mainely contain exemples of damages due to counterfeit of car pieces or medecine. Fortunately, someone had the idea to propose an exit of the manicheism of  » good product Vs bad copy  » with a text about free software ande free culture which are a third way that use and promote copy.

Unfortunately, the organism that manage industrial property in France is traped and don’t seem to get out of this buisiness in short time. While it’s pressingthe eject button, the INPI triggered a trap for bears that guard profitable and easy business with pattents.
While letting in its dark corner near the toilets the terminal that play this text in a sound background, ignored by the customer as well as the insipidest bar pianist could have at least had a impartiality caution even if it was just a mask. Instead, the INPI decided to presure « La Cité des Sciences » to get this terminal off in the name of the « necessary clarity » of the exhibition.

So : « Le Drame !  »

Not just to be some dirt on the necessary clarity of an exposure that just become then some propaganda on needs of patents versus nocive copies of any kind, free militants get organisation to stand in the front of the building of « La Cité des Sciences » to distribute tracts and other FramaDVD (discovery DVD about free software and free culture) with Richard Stallman’s benediction. These will be much more visibles and instructives on the free way of the middle between copyright and fraud and will show that Internet’s creation does have consequences not just for computering or music. Open source model is propaging every day more. Today, a projetct of an open source car exists at FIAT’s division of Bresil (may be I’ll talk about it later in a post about free spreading).

Finaly, to follow the case, there is nothing better that links in some chronological order (sory only in french) :

– Censored text and explanations from the writer : http://www.transactiv-exe.org/spip.php?article141

– Free blogosphere’s reactions :
http://linuxfr.org//2010/04/21/26765.html
http://www.framablog.org/index.php/post/2010/04/21/inpi-censure-le-libre
http://www.pcinpact.com/actu/news/56483-inpi-cite-des-sciences-libre-censure.htm
http://www.toolinux.com/lininfo/toolinux-information/breves/article/progilibre-le-lobby-anti
http://www.pullco.fr/2010/04/l-expo-qui-parle-du-faux-vraie-censure-du-libre-a-la-cite-des-sciences/
http://ubuntu-party.org/le-libre-phenomene-en-expansion

– French press reaction :
http://www.rue89.com/2010/04/21/le-logiciel-libre-indesirable-dans-lexposition-contrefacon-148412
http://pro.01net.com/editorial/515551/l-inpi-s-erige-en-censeur-du-libre-a-la-villette-%28maj%29/

– Ripost management :
— Thread on Framagora : http://forum.framasoft.org/viewtopic.php?f=12&t=33931
— Tract collaborative redaction: http://quadpad.lqdn.fr:9000/56KmDqu00q
— Bonjour Censure : http://www.bonjourcensure.fr/
— PiratePad on the topic : http://piratepad.net/rV5IX2RIct
— Doodle to manage time of presence : http://www.doodle.com/imntdqd6vspn6n4u
— Dedicated hashtag : http://identi.ca/search/notice?q=%23censureINPI
— Letter from the APRIL to Claudie Haigneré : http://www.april.org/fr/censure-anti-libre-a-la-cite-des-sciences-et-de-lindustrie

And so, INPI argue on the fact that il uses free softwares to validate its good will.
http://www.pcinpact.com/actu/news/56517-inpi-cite-des-sciences-censure-libre-reponse.htm

Unfortunatly, « freeness » is not only defended with its utility. As « La Cité des Sciences », INPI should quickly and seriously think about the question about  » How to help free software ?  » . It is sure that what could be the excuses or the explanations, nothing will be left untill the terminal won’t be in place at least.

Learn that « Copying is not theft » will be a good first step in the right way.

Framasoft

S’il faut un exemple autre que wikipedia de ce que peut être l’informatique, la culture libre et l’internet libre, je citerai Framasoft.

Association à but non lucratif, Framasoft s’est donné pour mission d’être une aide à la communauté francophone des libristes.
A l’origine, le premier projet nommé Framasoft était une liste de logiciels compris dans le projet éducatif FramaNet (FRAnçais et MAthématiques en intraNET). A la fin 2001, le projet prend son envol et en 2004, l’association Framasotf prend son envol.
Fondé par Alexis Kauffmann (aka), le réseau a son permanent de service en la personne de Pierre Yves Gosset (pyg) qui met toute son énergie à soutenir les sites, la communauté et les projets.

La base est restée la même depuis la création de l’association : Faire connaître les logiciels libres, quelque soit l’OS.
Ainsi, de l’annuaire qui aujourd’hui encore se remplit grâce à la communauté et aux créateurs de logiciels libres, Framasoft est devenu un réseau de sites et de projets concernant les logiciels libres la culture libre et leur promotion.

Des outils multimedia de communication sont là avec le Framablog, Framatube, Framagora et bien sûr le site lui-même Framasoft. Mais le plus impressionnant reste les projets issus des nécessités et des envies crées par le besoin de remplir tout ça. En effet, afin de transmettre à travers ces outils les réflexions et les actualités forcément internationales du monde du libre, est venu le projet Framalang qui a aujourd’hui ses propres outils de traduction collaborative et dont l’oeuvre la plus imposante est la traduction de la  biographie de Richard Stallman.
D’ailleurs, grâce à la demande des traducteurs, Richard Stallman a pris conscience qu’il avait une biographie faite à la suite d’une entrevue entre lui et un journaliste et qu’il devait la hacker. Profitant du fabuleux outil issu de la collaboration entre la communauté Framasoft et les éditions In Libro Veritas qu’est Framabook, il existe aujourd’hui une version française de cette biographie à laquelle a été ajoutée ses commentaires et précisions. Paru dans les collections Accès Libre de chez Eyrolles et en tant que sixième tome de la collection Framabook, ce livre et ses sources sont disponibles au téléchargement en adéquation avec la philosophie du libre.

A ce propos, d’ailleurs, Framabook s’est associé à l’association Les Complexes pour permettre de créer une forge complète pour les prochains livres qui seront écrits, corrigés, mis en page, publiés et mis à jour sur la solution de création de livre en ligne La Poule ou l’Oeuf. Tous les outils sont en place pour que vous puissiez gagner vos droits d’auteurs sur les livres physiques sur les logiciels libres qui seront vendus dans la collection Framabook comme le fait In Libro Veritas pour tous les livres qu’il publie en Licence Art Libre ou autre Creative Commons.

Mais pour en revenir à la distribution de logiciels libres, les autres projets vous seront tout aussi indispensables que moi, je pense.
Pour découvrir ou faire découvrir les logiciels libres et son univers quelque soit votre système d’exploitation, le FramaDVD contient non seulement la sélection des logiciels libres indispensables sur windows, mais aussi d’autres sur Mac et même un LiveCD complet Ubuntu qui vous permettra de découvrir ce qu’est GNU/Linux et de le comparer à votre OS actuel sans aucune installation. Toutefois, les logiciels ne sont pas la seule chose libre dans le DVD. Des musiques, des vidéos, des films, des livres et plus encore sont compilés à l’intérieur pour vous faire découvrir aussi la culture libre et tout ce qu’elle soutient de développement humain.

Pour ne plus avoir à chercher vos logiciels libres lors d’une nouvelle installation ou de l’achat de votre nouvelle machine, Framapack vous permet de créer votre profil sur lequel se trouvera votre sélection de logiciels qui s’installeront en une seule fois à partir du téléchargement que vous proposera le site. Chose pratique s’il en est, elle n’est rien à côté de ce qui a ma préférence dans ce qui peut être sorti de cette forge à réalisations qu’est Framasoft : la Framakey.

Le principe est simple. C’est juste une clef USB sur laquelle les logiciels et les applications de votre choix vous suivront avec vos préférences et vos environnements personnels.
Pour prendre un exemple simple, vos marque-pages dans FireFox vous suivront quelque soit l’ordinateur sur lequel vous allez travailler grâce à cette clef. De plus, vous ne laisserez quasiment aucune trace de votre passage, puisque tout votre historique sera stocké sur la clef.
Plusieurs versions existent pour une transition en douceur. Une fois que vous aurez découvert le fonctionnement de la clef avec des environnements Windows et la Framakey standard (V1.11), vous pourrez ensuite faire un pas de plus en upgradant vers la Framakey Ubuntu Remix qui contient les versions windows, les versions mac et aussi un OS complet avec un liveUSB de Ubuntu et des machines virtuelles à utiliser pour ne pas rebooter votre ordinateur hôte. Bref, votre environnement complet quelque soit l’ordinateur sur lequel vous vous trouvez.
C’est tout simplement génial, non ‽ 😀

Tout ça pour vous dire que si vous voulez découvrir, vous informer ou vous cultiver sur ce qu’est le monde libre, n’hésitez pas à venir trainer sur le réseau Framasoft. Tout le monde sera là pour vous guider au mieux dans votre découverte ou vos recherches. En plus de tout ce qui vous est offert, vous retrouverez simplement cet esprit de sauvegarde et de développement de ce pour quoi d’autres se sont battus : la Liberté, l’Egalité et la Fraternité.

Si ça, ça ne vaut pas les quelques minutes passées ici et bien d’autres je l’espère là-bas ! 😉

En tout ca, ce post en augure d’autres pour vous tenir au courant des évolutions de la communauté et des projets futurs et en cours.


English translation on demand.